NOM : Ryusoji


Prénom : Katsumoto

Sexe : Masculin

Age : 17ans

Lieu de naissance : Au sommet du Fujisan

Situation familiale :
Il a perdu sa mère, vers 10ans; il a perdu, aussi, son père, vers 16ans.

Physique :
Il porte un kimono, un katana en bois de chêne noir, un wakisashi, et un tanto !!

particularité(s) physique(s) :
A près d'un mètre quatre-vingt, Katsumoto était grand pour les gens de
son époque.Son corp évoquait celui d'un beau coursier : fort et souple,
avec de longs membres nerveux. Il avait des lèvres pleines, rouge vif,
et ses épais sourcils noirs n'étaient pas brousailleux grâce à leur
forme élégante. S'étédant bien au-delà des ses yeux, il accentuait son
aspect viril. Les villageois le nommaient "l'enfant d'une année
grasse", expression qui ne désignait que les enfants aux traits plus
accentués que la moyenne. Loin d'être une insulte, ce surnom ne
l'isolait pas moins des autres jeunes, ce qui le gêna beaucoup dans son
enfance.
Quand il dormait, son visage devenait aussi paisible que celui d’un
petit enfant ; la pensée du lendemain ne l’agitaient pas moins du
monde. Il avait sa par de rêve, endormi ou éveillé, mais ne souffrait
guère de véritable déception. Il n’a pas grand-chose a perdre, et bien
qu’en un sens il fût un déraciné, il était aussi libre d’entraves.
Respirant de façon profonde et régulière, cramponné à son katana de
bois, des visions de sa charmante sœur et de sa paisible ville natale
passaient devant ses yeux clos, aux cils épais. Son maniement de son
sabre et précis, artistique, puissant, et MORTEL


Caractère :

On ne peut qualifié Katsumoto comme un homme bon, il a souffert tout au long de son enfance, ce qui l'a fait devenir un rebel. Néamoins Il est rigoureux, travailleur et compétent… Sa seul raison de restait vivant : sa soeur...
Objectifs :

Protéger ça soeur, Akemi, tout en fuiyant la garde d'autre famille puissante...


Histoire :


A l’apogée de sa croissance, l'adolescent était prompt à se remettre de la plupart des maux physiques. Katsumoto adorée son sabre en chêne noir, il ne le quitta jamais. Le simple fait de le tenir en main lui causait un plaisir indescriptible. Souvent, il en serrait fortement la poignée, ou bien en passait le bord externe le long de sa paume à seule fin de sentir la proportion parfaite de sa courbure. En dormant, il le serrait contre lui. Le frais contact de la surface ligneuse contre sa joue lui rappelait le plancher du dojo où il avait pratiqué les techniques du sabre en hiver. Cet instrument presque parfait, à la fois artistique et mortel, réveillait en lui l’esprit combatif qu’il avait hérité de son père. Katsumoto avait adoré sa mère, mais elle avait quitté son père et allait vivre ailleurs alors qu’il
était encore à bas âge, le laissant seul avec son père, le
daimyo très a cheval sur les principes, qui n’aurait pas su gâter un
enfant dans le cas improbable où il aurait voulu. En présence de son
père, le petit garçon s’était toujours senti gêné, effrayé, jamais
vraiment à l’aise. Quand il eut neuf ans, il brûlait à tel point
d’entendre une parole bienveillante de sa mère qu’il s’enfuit de chez
lui pour faire tout le chemin de la province de Wakayama, où elle vivait. Katsumoto ne sut jamais pourquoi sa mère et son père s’étaient séparés et, à cet âge, peut-être qu’une explication n’aurait pas servi à grand chose. La mère avait épousé un autre Samurai duquel elle avait un autre enfant. Une fois arrivé à Wakayama, le petit fugueur ne fut pas long à retrouver sa mère. Elle l’emmena dans un endroit boisé, derrière le sanctuaire local, pour qu’on ne les vit pas et là, les yeux plein de larmes, le serra dans ses bras en tâchant de lui expliquer pourquoi il devait
retourner chez son père. Katsumoto n’oublia jamais la scène ; toute son existence, il devait se la rappeler dans les moindres détails. Bien sûr, son père, en bon Samurai qu’il était, dés qu’il avait appris la disparition de
son fils avait envoyé des émissaires pour le ramener. On pouvait facilement deviner où l’enfant s’était réfugié. On le ramena à Satsuma comme un fagot, ficelé sur le dos d’un cheval non scellé. celui-ci
l’accueillit en le traitant de moutard insolent, et, dans un état de
fureur confinant à l’hystérie, le battit comme plâtre. Plus nettement que tout le reste, Katsumoto se souvenait de quelle manière venimeuse son père avait lancé son ultimatum :
-"Si tu reprend la fuite je te tuerais ! Mais sache que tu n'échappera pas à la punission pour être allé voir ta mère! JE TE RENI!!!"
Peu de temps après cet incident, katsumoto apprit que sa mère était tombée malade et était morte. Sa mort transforma cet enfant tranquille et
mélancolique en brute. Son père lui-même finit par le craindre. Quand il
s’approchait du garçon avec un bâton, l’adolescent ripostait avec un
gourdin. Le seul a lui tenir tête était Akemi, sa soeur; les autres enfants pliaient tous devant Katsumoto. Dès sa douzième ou treizième année, il était presque aussi grand qu’un adulte. Une année, un escrimeur errant, du nom Tsunemoto Hideaki, hissa un drapeau blasonné d’or, et proposa de relever les défis des villageois. Katsumoto
le tua sans effort ; les villageaois firent l’éloge de sa prouesse.
Mais la haute opinion qu’ils avaient de lui ne dura guère : avec les
années, il devenait de plus en plus intraitable et brutal. Beaucoup de
gens prirent le large. Son attitude envers eux en vint à refléter leur
froideur. Quand son père, plus dur et inflexible que jamais, finit par
mourir, le caractère cruel de Katsumoto s’amplifia encore. N’eût été sa sœur aînée, Akemi, il se fût sans doute mis dans quelque très mauvais cas et eût été chassé du village par une foule irritée. Par chance, il aimait beaucoup sa sœur, et, sans recours devant ses larmes, faisait généralement tout ce qu’elle lui demandait.

Bienvenue ! Tes objectifs sont intéressants ! ^^

Il faudra que tu achète tes armes pour les avoir. Sinon c'est pas mal !

Tu commence errant et tu peuxcommencer le jeu où tu veux.

Amuse-toi bien !